Ils ont aimé

Petits extraits de courrier

 

«J’aimerais fort connaître la personne dont le livre au format inattendu et à l’impression précieuse m’a infiniment plu. Je vous appellerai Mélodie.

Dans cette méditation poétique, ce dialogue avec un oiseau plein de sagesse et de paysages, nous ne sommes pas loin du “Petit Prince”.
Il est bon de se répéter que “si les étoiles relaient le soleil, c’est pour ne pas laisser s’éteindre l’espérance…”.
J’aimerais que “Dis, est-ce que ça repousse les ailes ?” soit aussi connu en France qu’il l’est en Belgique.
Attendant de vous rencontrer entre la rue de Lille… et la rue de Verneuil…»

Maurice Druon

 

«Je suis sous le charme…
Merci de m’avoir fait rêver, comme un enfant… que nous demeurons, j’espère.»

Jacques Mercier

 

«Un petit mot encore pour vous dire tout le bonheur que j’ai eu à lire “Dis, est-ce que ça repousse les ailes ?”…
Le livre a une si grande profondeur, empreint d’altitude et de lumière…

“A coeur de vue”
A fleur de mots…»

Yves Duteil

 

«Superbement édité, l’histoire de l’oiseau et de Mélodie est un chant d’espérance dans le sillage du “Petit Prince”.
Merci de m’avoir partagé les paroles de l’oiseau blanc, merci de m’avoir rappelé cette leçon de savoir-vivre :
“Prendre le temps de redécouvrir les paysages aux alentours de soi et ouvrir son âme à leur langage”.»

Roger Foulon
Membre de l’Académie Royale de Langue et de Littérature Françaises
Prix Maurice Carême 2005

 

«Merci pour le cadeau de ce beau livre.
J’espère qu’il trouvera ses lecteurs et je n’en doute pas…»

Christian Bobin, Le Creusot

 

«Votre délicieux livre m’a offert une très belle promenade dans ses dédales…
Je forme tous mes voeux pour son succès mérité… De tout coeur…»

Christiane Singer, Autriche

 

«Après avoir lu votre livre, je voulais vous dire combien je l’avais trouvé touchant et de qualité.
L’objet est magnifique, la mise en page parfaite et l’histoire est un beau conte, comme on n’en écrit plus de puis Saint Ex, Bach, Gibran ou Robin.
Continuez à nous écrire de si belles choses.»

Michel Piquemal
Écrivain, poète, responsable de la collection “Paroles”, Albin Michel

 

«Chacun redécouvre ses “paysages” à travers ceux de ce petit livre ensoleillé et dense…
Je souhaite qu’il s’envole dans toutes les directions et, comme l’oiseau, aille se poser sur les genoux de ceux et celles qui ont le goût de “l’intérieur”, de la poésie et du silence.»

Geo Longrée

 

«Vous comprendrez que j’ai particulièrement apprécié votre poème ?, conte ?, parabole ?, tout cela à la fois ?, ainsi que le travail tout en finesse de votre fille.
Merci encore de votre cadeau, de cette rencontre, et en espérant n’avoir été ici en France qu’un des nombreux messagers de votre petite Mélodie qui j’espère un jour, de mains en mains, de bouche à oreilles, de coeur à coeur, saura se faire symphonie !»

Xavier Rueda, Paris

 

«Dans le coin d’une librairie, j’ai trouvé ce petit bout de livre… aux dessins d’une petite fille qui m’interpellait.
A la première lecture, ma satisfaction n’a fait que grandir !…
Une impression de trouver ce que j’attendais de savoir de cette vie…
J’ai découvert les mots qui se baladaient dans ma tête sans trop savoir comment s’agencer jusqu’alors.
Vous avez expliqué sans aucun détours, et de manière simple, les choses qui hantent l’esprit et auxquelles on ne trouve pas la solution aisément…
Ce livre me suivra où la vie me mènera…»

Sophie, 21 ans

 

«Je vous remercie toutes ailes déployées, pour ce pur moment de bonheur et de poésie. Dites, est-ce-que ça repousse souvent les ailes ?»

Philippe, 27 ans, Arlon

 

«Tout d’abord merci pour le vieil enfant que je suis d’avoir écrit cette histoire que j’aurais bien aimé écrire…
Les mots sont tendres, légers à s’envoler même de la page en poursuivant l’élan que parfois vous leur donnez…
Merci pour les mots et pour les dessins qui sont tout aussi des mots…
Quel plaisir de lire les mots et deviner les dessins…»

Jean-Jacques, 51 ans, Paris

 

«J’ai 34 ans et j’ai trouvé votre livre dans la salle d’attente de la psy chez qui je vais pour essayer de sortir de ma cage de souffrance.
J’ai commencé là et j’ai demandé à l’emprunter car il m’a parlé… je l’ai relu deux fois.
Je suis de celles qui ont trop peur de regarder la porte de la cage donc c’est difficile… mais je me retrouve dans votre jolie petite phrase sur l’espérance et je vis avec l’espoir d’un jour m’envoler vers la vie comme un papillon.
C’est comme un petit trésor et je trouve que c’est un merveilleux cadeau à faire.
C’est comme un bouquet de fleurs mais qui ne fane pas…»

Anonyme

 

«Je ne vous dis pas Madame ou Mademoiselle.
Impossible pour moi de le dire…
à une fée…
J’ai reçu ce bijou comme cadeau d’anniversaire (84 ans).»

Régine, Bruxelles

 

«Votre livre est une invitation à prendre son envol…
Un câlin d’air pur…
Merci Père Noël d’avoir mis Mélodie en existence…»

André, 60 ans, Lille

 

«Vous pansez les blessures du coeur avec une si infinie tendresse.
Profond merci…
Votre livre est présence.»

Maurice, Thuin

 

«J’ai pris conscience que cette cage dorée où j’ai souvent eu le sentiment de vivre, je la construisais moi-même…
Vous faites cadeau d’un long voyage intérieur et je vous remercie.
Merci pour ce précieux livre qui fait grandir ceux qui le lisent…»

Jacqueline, 55 ans, Liège

 

«Votre livre et moi…
A la foire du livre je rencontre votre livre et j’en achète trois d’un coup.
Deux que je destine à des amis très chers et un que je garde jalousement pour moi.
Je finis par le donner…
Entretemps, je pars en Equateur… je tombe du ciel en parapente et je suis rapatriée en petits morceaux.
Une amie vient me voir… et votre livre revient vers moi sous forme de cadeau.
Cette fois le titre prend tellement plus de sens et je le sens s’adresser à moi seule, et à la page 13 il me dit : Avec une infinie tendresse “si l’oiseau veut voler oui, ça repousse les ailes”…»

Sophie

 

«Je ne peux vous dire comment ni pourquoi mais je me sentais mieux après cette douce lecture…
Vous contribuez, mot après mot, à rendre le monde plus acceptable…»

Rémi, 35 ans, Paris

 

«C’est avec un plaisir sans cesse accru et renouvelé que j’ai lu et relu votre livre.
L’amour et la tendresse portés aux êtres m’ont rappelé “Le Petit Prince”, avec toute la beauté qui rejette loin le laid et le vulgaire…»

Roger, 75 ans, Ensival

 

«Merci de chanter la vie…»

Une grand-mère, Bruxelles

 

«J’ai aimé, j’ai aimé très fort.
J’ai lu tout, tout de suite, puis j’ai relu et j’aime encore relire.»

Brigitte, 40 ans, Bruxelles

 

«Merci pour tous ces mots qui “atteignent en majuscule”
et qui revalident les coeurs et les ailes de toutes sortes…»

Georgette, Liège

 

«C’est un étoile sur ma route…
Mes ailes repoussent.»

Béatrice, Liège

 

«Merci de permettre à de nombreuses personnes de dialoguer entre elles grâce à l’oiseau et l’enfant.»

Suzanne, 45 ans, Stembert

 

«Tous y trouveront une leçon de vie. Je pense au Petit Prince de Saint EX.
Ce n’est pas une mince affaire !»

Jacques, Beaufays

 

«Une belle mélodie c’est mille fois mieux qu’un grand discours.»

Elisabeth, Enghien

 

«”Je vais partir…
Une sourde angoisse m’empoigna tout-à-coup.
Et demain !… et après!… et tous les autres jours, tu seras où ?
‘A coeur de vue’ dit-il avec une tendresse infinie.”

 A 33 ans, Cécile a terminé son combat avec le cancer depuis 10 ans.
Mélodie, l’oiseau et le yoga l’auront accompagnée jusqu’au bout.
Elle a littéralement semé votre message qui était devenu le sien…
A la cérémonie d’adieux, émouvante bien sûr mais aussi tendre, paisible…
au rythme du dialogue entre Mélodie et l’oiseau blanc… et le livre posé sur l’autel.
Messe par deux voies : celle de Dieu, celle des hommes…
sans savoir par quelle “voix” Il s’est le mieux manifesté…»

Georgette, professeur de yoga de Cécile, Liège.

 

«Votre livre est exactement la question que je me pose souvent.
Il a éclairé des zones d’ombre… Il me suivra où la vie me mènera…
Comme quoi il faut aller plus loin que le bout de son nez et ne jamais ignorer les petits coins des librairies…
Toute ma gratitude.»

Sylvie, 21 ans, Paris

 

«Une infinie gratitude pour avoir écrit un livre aussi vrai et aussi beau…
Merci pour ces mots ailés de magie…»

Thierry, 51 ans, Bruxelles